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Le monde des médias sociaux change rapidement. Des plateformes telles que Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp, Messenger) et X (anciennement Twitter) étaient autrefois les leaders sans précédent de la communication numérique, mais sont aujourd’hui de plus en plus discréditées par les problèmes de confidentialité, les violations de données et la propagation de la désinformation.

Parallèlement, la demande d’alternatives plus sûres, plus transparentes et plus axées sur la communauté, comme Hoplr, augmente. Dans cet article, nous étudions pourquoi Meta et X sont de plus en plus remis en question et comment Hoplr se positionne comme une alternative fiable et éthiquement responsable.

1. Désinformation et modération: l’impact de Meta & X

L’un des plus grands défis pour Meta et X est de s’attaquer à la désinformation. Bien que ces plateformes indiquent qu’ils essaient de modérer le contenu nocif, ils sont également souvent critiqués pour des règles ou des algorithmes incohérents qui stimulent le contenu polarisant. Des plateformes telles que Facebook et X sont utilisées par des acteurs étrangers pour influencer les élections.

Hoplr se concentre sur les informations locales et pertinentes, accompagnées d’interactions positives. – En raison du caractère local, destiné aux communes, il n’y a pas de propagation massive d’informations fausses ou négatives.

  • Nos réseaux de quartier sont modérés par des community managers en fonction des rapports effectués par des utilisateurs. Ils suivent un code d’éthique transparent.
  • Hoplr n’autorise pas les profils anonymes. Cela garantit non seulement un meilleur contrôle social, car les gens se connaissent souvent, mais aussi un ton de voix serein et constructif.

Tout cela fait de Hoplr une plateforme où les utilisateurs se sentent plus en sécurité et où la désinformation n’a aucune chance.

2. Communications communales : pourquoi de plus en plus de collectivités évitent Facebook

Les communes se rendent de plus en plus compte que Meta n’est plus une plateforme honnête et sécurisée pour la communication officielle. Aux Pays-Bas, l’Autorité néerlandaise de protection des données (AP) a conseillé aux agences gouvernementales de ne pas utiliser Facebook (source), en raison de l’incertitude quant à la manière dont les données personnelles des visiteurs sont traitées. De plus, la baisse de la portée organique (algorithmes), l’abondance de publicité et le risque que des messages importants soient perdus dans un flot de contenu non pertinent jouent un rôle majeur.

Hoplr offre une alternative puissante aux collectivités grâce à des plateformes de quartier sécurisées qui s’adressent exclusivement aux communautés locales.

  • Conformité totale avec la législation européenne sur la protection de la vie privée (RGPD) et certification ISO.
  • Pas de publicités commerciales
  • Hoplr ne vend pas de données utilisateur et fonctionne avec des licences payantes pour les communes.
  • Communication sans interférences grâce à des fonctionnalités telles que les notifications automatiques et les fils de quartier sans algorithme

3. Confidentialité et données : les amendes de Meta versus le modèle de revenus de Hoplr

Mai 2023 : Meta a reçu une amende record de 1,2 milliard d’euros pour avoir transféré illégalement des données d’utilisateurs européens vers les États-Unis, en violation de la législation RGPD (source).

Novembre 2024 : Meta a été condamné à une amende de 797,72 millions d’euros pour abus de pouvoir et violation des règles antitrust de l’UE.

Autres amendes : Au cours des quatre dernières années, Meta a dû payer un total de plus de 4 milliards d’euros d’amendes pour diverses infractions.

Le modèle de revenus de Meta repose sur la vente de données utilisateur et de publicité personnalisée. Cela soulève des questions éthiques majeures sur la manière dont nos données sont utilisées et dans quelle mesure nous, en tant qu’utilisateurs, avons encore le contrôle de notre propre vie privée.

Hoplr, en revanche, opte pour un modèle (de revenus) fondamentalement différent :

  • Collaboration avec les autorités locales : Soutien actif à la communication et aux projets favorisant l’implication des quartiers.
  • Licences payantes: Les autorités locales et organisations communautaires paient pour le lancement, l’accès et la modération de la plateforme, garantissant ainsi un modèle de revenus transparent et durable.
  • Pas de publicités: Hoplr ne génère pas de revenus provenant de la publicité commerciale, contrairement à des plateformes telles que Meta.
  • Aucune vente de données utilisateur : Les données utilisateur restent entièrement protégées et ne sont jamais vendues à des tiers.

L’avenir des médias sociaux est local et sûr

Les récents scandales autour de Meta et X montrent que les médias sociaux traditionnels sont confrontés à des problèmes fondamentaux liés à la confidentialité, à la sécurité des données et à l’impact sur la société. Les gouvernements et les citoyens sont de plus en plus conscients de ces problèmes et recherchent de meilleures alternatives.

Hoplr se positionne comme une plateforme européenne, éthiquement responsable, qui met l’accent sur la confidentialité, la communauté et la transparence. Alors que Meta et X se concentrent sur l’engagement et la maximisation des profits, Hoplr opte pour l’impact social et les réseaux de quartier numériques sécurisés.

Dans un monde où la connectivité numérique devient de plus en plus importante, la question n’est pas de savoir si le changement se produira, mais à quelle vitesse les utilisateurs et les gouvernements passeront à des plateformes qui placent véritablement les intérêts de leurs communautés en premier.

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